
Avoir la gueule de bois

Attraper de la brioche

C'est elle qui porte le pantalon

Avoir la tête dans l'cul

Ecrire comme un cochon

Etre dans la lune

Parler français comme une vache espagnole

Siffler une bouteille

Etre un canard boiteux

Avoir les abdos Kronenbourg

Avoir les deux pieds dans le même sabot

Deux précautions valent mieux qu'une
Salut,
RépondreSupprimerJe vous contacte car j'ai fait un site (WIP mais bon) www.transcomix.fr
pour mettre en contact des gens qui mettent des BDs en ligne et des lecteurs bilingues qui peuvent leur proposer une traduction.
Cette idée m'est venue de frequenter par mon boulot dans l'anim plein d'amateurs de BD français comme moi, qui parlent anglais couramment.
Le site n'est pas top point de vue interface. J'utilise une base de Blog pour proposer les tradus mais l'idée est d'avoir d'abord assez de lien vers des BDs pour interesser les lecteurs et quand j'atteindrait un nombre suffisant, je ne doute pas de trouver des devellopeurs pour m'aider à ameliorer le site. Voilà, j'espère que ça vous interessera. J'attends de vos nouvelles. Amicalement,
Cyrille Caron
London
Quand le Desbois est aux champs ça laisse du temps pour relire son blog...Vraiment j'adore si t'en vendais ben j'en achèterais !
RépondreSupprimerha ha ! Mais comment est-tu arrivée jusqu'ici ? Retrouveras-tu facilement le chemin du r'tour ? Ha dis donc, c'est vieux ça, ce sont des gribouillis qui m'ont été commandé pour illustrer un bouquin universitaire sur les expressions françaises pour les étudiants étrangers. Bon souvenir. Et rémunéré...
RépondreSupprimerLe Desbois des champs n'a jamais aussi bien porté son nom. Aujourd'hui, plantage de fraisiers, puis cherchage de bois dans la forêt,coupage et rangeage de ce même bois. Desbois des champs crevé il est. :)
Waip mais après Josiane Desbois, la buraliste de Chambery aux double-foyers luisants de lubricité sera à tes genoux, pâmée devant tes muscles saillants de bûcheron. Je tiens un début de roman érotique à succès là, j'le sens (bien).
SupprimerFaut pas faire attention, c'est le rhume, le chômage (mon contrat de boulot est terminé depuis cet aprèm 15h) et le chagrin (j'étais payée pour m'occuper de mes nains mais en plus je les aimais bouhouhou) qui me ravagent la ciboule.
Ha ha ! Un roman érotico-tabagique, en voilà une bonne idée ! Ils vécurent heureux en suffocant et eurent plein de petits mégots. Oui, oui, ça pourrait faire un tabac.
RépondreSupprimerAie, ouille, la fin de quelque chose c'est toujours triste et déprimant, d’autant plus quand il s'agit d'êtres humains qu'on aime(quelles que soient leurs tailles). C'est plus difficile à soigner qu'un rhume.
Tu as le soutien et la compassion d'un Arsène lointain. :)